lundi 29 mai 2017

livre


Vivre en famille d'accueil - À qui s'attacher ?





                                Broché – 7 mai 2017




Les enfants pris en charge par des familles d'accueil s'inscrivent tour à tour dans deux familles, celle de naissance et celle qui les accueille, voire trois familles pour peu que leurs parents aient aussi recomposé un nouveau couple. Ils doivent naviguer d'un lieu à l'autre, d'un port d'attaches à l'autre.
Comment s'y prennent-ils pour ne pas perdre le cap, pour ne pas rester dans un « entre-
deux » préjudiciable à leur développement ? Comment peuvent-ils s'attacher aux uns et aux
autres, répondre aux attentes multiples, parfois pressantes que chaque adulte dirige sur eux
?
Entre le « nous familial » qu'il faut quitter, et cette autre famille dans laquelle il va falloir s'intégrer, qui choisir, et faut-il choisir ? Combien de temps faut-il pour se sentir chez soi, voire « à sa place », et n'est-ce qu'une question de temps ?


récit

ENFANTS PLACÉS, ENFANTS SACRIFIÉS ÇA SUFFIT !

Livre Enfants placés, enfants sacrifiés ça suffit !

rectoversoaplat
Jeanne Landry
RÉCITS, TÉMOIGNAGES


« Mon histoire est celle d'une jeune grand-mère à qui, un matin d'hiver, on a arraché ses deux petits-enfants. Ma vie et la leur ont basculé dans une réalité insupportable lorsqu'une décision de justice a ordonné leur placement dans un foyer de la protection de l'enfance. Malgré ma demande d'être désignée ''tiers digne de confiance'', la juge en a décidé autrement. ''Vous n'êtes QUE la grand-mère…'', m'a-t-on dit. Oui, mais je suis et je resterai LEUR grand-mère ! » Comment accepter l'inacceptable ? Jeanne Landry n'a pas accepté. Elle a alerté, écrit, appelé, interpellé. Elle a trouvé en elle des ressources qu'elle ne soupçonnait pas, une énergie nouvelle qui lui a donné la force de sortir de son silence pour témoigner de sa souffrance et, surtout, de ce qu'elle a découvert durant une année : un monde qui nie les droits fondamentaux des enfants placés, brise les familles, et des institutions qui fonctionnent sans aucun contrôle, dans une omerta absolue. Jeanne Landry a essayé de trouver les mots pour tenter, tout simplement, de rendre visibles ces enfants dont tout le monde se fout.


 • 20 avril 2017 • 240 pages

dimanche 28 mai 2017

NE PAS MANQUER

L'association Ass Fam 17, ensemble
vous convie

le jeudi 1er juin 2017 à 19h30
au Palais des Congrés de Rochefort ( salle Pierre Loti)



à une soirée débat en présence d'Adrien Durousset .
notre fil rouge sera assuré par Martine Tillier, psychologue.


A partir de la loi du 05/03/07 , qui met l'enfant au coeur du dispositif de protection de l'enfance, nous aborderons les questions suivantes :


"Comment les places respectives de l'enfant, des parents se construisent elle? "

"Comment s'articule leur prise en compte dans le cadre d'un placement?"

"Quelles sont les priorités des Educateurs, des Familles d'Accueil ?"



et, nous aborderons un sujet d'actualité qui nous arrive dans le champ de la Protection de l'Enfance:

"Comment appréhender la radicalisation en Famille d'Accueil?"


assfam17ensemble.blogspot.com

vendredi 19 mai 2017

idees de livres

* Petite chronique d ' une Famille d'Accueil "  de Jean Cartry

* Le placement Familial, une longue histoire à réinventer " de Denise Bass

* " enfants, parents, famille d'accueil " de Myriam David

* parler, c'est vivre " de Claude Halmos

* on m'a jamais demandé mon avis " de Pierre Verdier

* " les Familles d'Accueil, écoutez les " de Geneviève Ival

* "l'accueil Familial dans tous ses états " de Claire Weil

* " Ces familles qui ne demandent rien " de Jean Paul Mugnier

* " La fonction parentale " de Pierre Delion


la maltraitance infantile, pourquoi tant de silence? Claude Halmos




En France, deux enfants meurent chaque jour sous les coups. Ou suite aux sévices infligés par leurs parents. Lorsqu’ils font la Une des journaux, ces enfants maltraités suscitent l’émotion nationale. Mais au quotidien, c’est plutôt de l’indifférence de la société dont ils font les frais.
La psychanalyste Claude Halmos nous explique pourquoi une telle chape de plomb pèse sur le sort de ces enfants.  
          

Ce chiffre fort : deux enfants meurent chaque jour sous les coups d'un de leurs parents. Cela vous étonne ?

Claude Halmos : Non je ne suis pas du tout étonnée. On ne parle de ces enfants que lorsqu’il y a des faits divers très médiatisés, mais ce qu’on oublie, c’est en effet que de nombreux enfants vivent dans des familles dans lesquelles ils sont maltraités, abusés sexuellement, à longueur de temps. Et ce, même lorsque ces familles sont déjà suivies par les services sociaux. C’était par exemple le cas de la petite Marina, décédée à l’âge de 8 ans après toute une vie de sévices infligés par ses deux parents. Deux enseignantes avaient essayé de la protéger, mais son père, qui était sûrement un homme très pervers, avait manipulé le médecin scolaire qui avait fini par le trouver très sympathique.

A découvrir

La dernière étude consacrée aux violences faites aux enfants en France remonte à 2006 et a été réalisée par l'ODAS (Observatoire national de l’action sociale). Elle révèle que deux enfants décèdent chaque jour de la maltraitance de leurs parents, et que le nombre de mineurs en danger est estimé à 98 000, qu’ils soient victimes de violence physique, sexuelle, psychologique, ou de négligence lourde.

La dernière étude remonte à 2006, pourquoi si peu d'importance est-celle accordée à la maltraitance des enfants en France ? Cela n’intéresse personne ?

Claude Halmos : Je ne pense pas que cela n’intéresse personne. Mais pour protéger ces enfants, il faut pouvoir se représenter ce qu’est la maltraitance, avec tout ce que cela a d’atroce. C’est-à-dire pouvoir imaginer qu’un père, ou une mère, parfois les deux, puissent, tous les jours ou presque, en faisant en sorte que cela ne se voie pas ou ne se sache pas, battre ou abuser sexuellement de leur enfant. Et pour se représenter cela, il faut pouvoir imaginer qu’un parent puisse ne pas être forcément bon pour son enfant, qu’il puisse ne pas l’aimer.
Il faut pouvoir également se mettre à la place de cet enfant et de la souffrance invraisemblable, inouïe, que cela représente pour lui. Une souffrance qui est à la fois physique, et psychologique. S’imaginer cet enfant dont les parents, qui sont des gens qu’il aime, ou du moins auxquels il est profondément attaché, et qui sont sensés le protéger, lui font subir l’innommable. Imaginer que, comme il ignore les raisons pour lesquelles on lui fait subir cela, il finit par penser qu’il est forcément mauvais, et coupable de ce qui lui arrive. D’autant que la société, et les grandes personnes autour de lui, ne voient pas, ne comprennent pas. Elles pensent que c’est vrai, qu’il est tombé dans les escaliers, et que c’est pour cela qu’il est recouvert de bleus. Il faut pouvoir imaginer la violence insensée que cela peut être que de voir son parent mentir au médecin, et le médecin le croire.
Il m’est déjà arrivé de comparer la maltraitance des enfants à ce qu’ont pu vivre les prisonniers des camps, livrés à la toute puissance de leur bourreau. Je ne pense pas que cela soit exagéré. Et c’est quelque chose de très difficile à imaginer. Parce que nous ne sommes pas vaccinés contre l’horreur, c’est quelque chose d’inaudible dans notre société.

Pourquoi, selon vous, y a-t-il si peu de signalements par rapport au nombre de cas répertoriés ?

Claude Halmos : Il y a les gens qui ne voient pas, et ceux qui ne veulent pas voir. D’une part pour les raisons expliquées juste au-dessus : parce qu’ils ne se représentent pas ce qu’est la maltraitance. Mais aussi parce que le signalement est quelque chose qui est aujourd’hui considéré comme de la délation. Y compris dans le corps médical ou parmi les psys. Lorsque l’on fait, en tant que psy, un signalement au Procureur de la République, on n’est jamais sûr à 100 %. Il nous faut interpréter la parole de l’enfant, ses dessins, ses attitudes, ses symptômes. Et il y a toujours une place pour le doute. Il faut alors trouver le courage de le faire quand même. Comme il fallait du courage pour être résistant pendant la guerre.
Et puis il y a cette idée très persistante selon laquelle l’enfant serait la propriété de ses parents. Le message de Françoise Dolto était : l’enfant est une personne, il n’est donc la propriété de personne. Si ses parents ont des droits, ils ont surtout des devoirs. Aujourd’hui, la formulation « droits de l’enfant » est communément admise, mais « les devoirs des parents » eux, dans l’esprit collectif, sont laissés de côté.
Enfin, il ne faut pas oublier que nombre de parents maltraitants sont des pervers. Là-encore, on se heurte à la surdité de notre société quant à la perversion. Les pervers sont des gens absolument irréprochables en surface, bien sous tout rapport. D’où la difficulté de trouver le courage de les dénoncer, et même, de les suspecter.

Que les professionnels craignent les conséquences d’un signalement injustifié, cela peut s’entendre, mais pour un citoyen lambda, pourquoi ne pas prendre le risque de se tromper, étant donné l’enjeu ?

Claude Halmos : Dans l’imaginaire, la potentialité de pouvoir se tromper, et donc la culpabilité qui en découlerait, est insupportable. Il n’y a rien de plus terrible que d’accuser de maltraitants des parents qui ne le sont pas. Certaines histoires, le cas par exemple d’enfants atteints de la maladie des os de verre dont les parents ont été accusés à tord de maltraitance, ont marqué profondément les esprits. Ce sont des cas très isolés, mais qui suffisent à faire douter tout le monde.

Peut-on aussi parler d’une forme de dilution de la responsabilité dans la société ? On imagine toujours que si l’on ne fait rien, quelqu’un d’autre agira à notre place ?

Claude Halmos : Oui, ce qui fait que personne ne bouge lorsque quelqu’un se fait agresser dans le métro. C’est de la lâcheté ordinaire. Je le dis sans aucun mépris. Dans le cas des enfants battus ou abusés, il y a aussi, dans l’esprit collectif, l’idée que dénoncer, c’est forcer une zone d’intime et de vie privée. Que l’on va nous dire « ça ne vous regarde pas ». Alors que si, bien sûr que cela nous regarde. Parce que nous sommes des citoyens français et que maltraiter les enfants est interdit par la loi. Et que si nous entendons un enfant crier quotidiennement dans notre immeuble, nous sommes en droit de nous demander pourquoi.

Comment redonner leur juste place aux droits de l’enfant dans cette problématique de maltraitance ?

Claude Halmos : En comprenant d’une part qu’un enfant n’est pas la propriété de ses parents. Et d’autre part, en remettant les choses à leur place. Aujourd’hui, non seulement on ne protège pas les enfants de la maltraitance, mais on brouille les pistes. Par exemple en déclarant que toute fessée, même la fessée tout à fait occasionnelle, donnée par un parent aimant et respectueux de son enfant, parce que l’enfant ce jour-là a été trop loin, est de la maltraitance. La fessée systématique, employée comme méthode d’éducation, est de la maltraitance. La fessée occasionnelle, non. Dire qu’elle est de la maltraitance, c’est accabler des parents qui ne le méritent pas. Mais c’est surtout, en associant l’idée de maltraitance à un acte courant, faire perdre de vue ce qu’est la vraie maltraitance : une horreur absolue. C’est dévier le problème, empêcher les gens de s’imaginer ce qu’est réellement un parent qui frappe son enfant avec la boucle de sa ceinture parce que cela va lui faire encore plus mal, qui le brûle avec un fer à souder…


Le sénateur socialiste André Vallini milite pour que la lutte contre la maltraitance des enfants soit érigée grande cause nationale en 2014, cela vous semble-t-il une avancée ?

Claude Halmos : Tout dépend de ce que l’on mettra dans cette grande cause. Il ne faut pas que ce soit seulement une occasion de donner bonne conscience à tout le monde. Ma réponse est donc oui : à condition que l’on regarde en face ce qu’est la maltraitance. Et on en est encore loin.

Claude Halmos , "pourquoi l'amour ne suffit pas ?"


Votre livre s’intitule Pourquoi l’amour ne suffit pas. Les parents d’aujourd’hui croient donc que l’amour suffit pour élever les enfants ?

Claude Halmos : Ils sont pris dans un mouvement de toute la société, où l’on tend de plus en plus à réduire les relations parents-enfants à de l’amour. On entend beaucoup dire, à propos de divorce ou de placement, par exemple : « Pour l’enfant, ça sera bien puisqu’il sera aimé. » Au fond, il y a une espèce de certitude implicite qui pèse sur les parents. Puisque l’on a des sentiments forts pour l’enfant et qu’on les lui exprime, cela suffira à son développement. Et quand on dit « amour », on ne se demande pas si l’amour pour l’enfant est un amour comme les autres. On prend pour référence ce que l’on connaît de l’amour en général. C’est-à-dire, en gros, les sentiments.

Alors que l’amour pour l’enfant est un amour particulier ?

C’est un amour tout à fait particulier. Parce que aimer un enfant, c’est aimer quelqu’un que l’on ne possédera jamais complètement. Il y a d’abord l’interdit de l’inceste, on ne possédera pas son corps, mais on ne possédera pas non plus son esprit, parce que son esprit doit trouver ses voies à lui. Et puis surtout, on l’aime pour qu’il nous quitte. Ce qui est la différence absolument essentielle avec l’amour entre adultes. On n’ira jamais penser qu’il est normal qu’un mari nous quitte, qu’un amant nous quitte, qu’une femme nous quitte, alors qu’un enfant, on l’aime, on lui donne tout et plus que tout… pour qu’il nous quitte. Et ce n’est pas naturel pour les parents, cela demande tout un travail.
Donc l’amour, bien sûr, est fondamental : si l’on n’a pas été aimé de son père et de sa mère, on peut errer sa vie entière à la recherche de ce qui pourrait combler ce manque, mais cela ne suffit pas. Et ça suffit d’autant moins que l’amour parental implique un devoir d’éducation.

Ce devoir d’éducation vous semble manquer plus aujourd’hui qu’hier ?

Oui, parce que quand on réduit l’amour parental à des sentiments, on oublie la construction de l’enfant. Un enfant se construit, et le facteur essentiel de sa construction, c’est l’éducation que lui donnent ses parents. C’est elle qui lui permet de devenir un "civilisé". C’est-à-dire un être qui n’est pas seulement guidé par ses instincts et son bon plaisir. Cela suppose que les parents mettent des limites. C’est souvent difficile pour eux parce qu’ils ont peur que l’enfant souffre. Mais c’est une souffrance indispensable et constructive

livre

Christine Abels-Eber, Pourquoi on nous a séparés ?, Érès, 2006
1
Quand les familles sont manquantes dans leur rôle éducatif, l’État se doit d’intervenir, d’assurer le relais. L’institution du placement répond à cette obligation. Elle se veut salvatrice, mais elle ne va pas sans poser de problème. Dans un placement sont impliqués l’enfant ou l’adolescent, la famille, les intervenants sociaux, le juge pour enfants, l’ASE (Aide sociale à l’enfance), la famille d’accueil (agréée et rémunérée) ou une institution. La situation se présente différemment selon que le placement est demandé par la famille ou imposé par le juge à la suite d’un signalement. Quoi qu’il en soit, on ne peut éviter qu’il ne constitue une blessure qui affectera l’enfant. L’image parentale se trouve dégradée. La mère, plus spécialement, se voit stigmatisée comme “mauvaise mère”. L’enfant lui-même est écartelé entre l’affection qu’il continue à avoir pour les siens et la culpabilité qu’il risque de ressentir en pensant qu’il est pour quelque chose dans le “désastre”. Tel petit garçon refusera le dialogue avec l’intervenant social de peur d’assombrir encore l’image qu’il suppose plutôt noire de la famille d’origine. Une mère très agressive refusera d’ouvrir sa porte. Elle n’acceptera pas la décision de placement qu’elle perçoit comme un déni de justice, de ses droits de citoyenne. À tort ou à raison. Mais de toute façon, sa perception doit être prise en compte. Il faut élucider, expliquer sans violence, avec patience. Un placement n’aura valeur thérapeutique que s’il permet à une mère débordée “d’abandonner sa posture d’abandon d’elle-même” ou de victime. De retrouver la conviction, avec l’aide qu’on lui propose, qu’elle peut assumer sa maternité. L’agencement de la chronologie est primordial : bien évaluer à quel moment il sera préférable pour tous les acteurs d’affronter la rupture, ou au contraire le moment où il serait dommageable pour l’enfant de rester chez lui (il faut exclure bien évidemment les cas de violences avérées). Le retour au foyer peut, lui aussi, être un choc pour l’enfant placé. Pendant une période parfois longue, il a dû s’habituer à sa famille d’accueil, à un milieu, à des habitudes et même à un langage nouveaux. Il a souvent joui de plus de confort qu’il n’en avait chez lui. Il a eu deux mères : la génitrice et la nourrice. Même si la seconde ne se pose pas en substitut de la première, comment éviter que n’affleurent des problèmes de fidélité affective ? Le pire serait des hésitations de l’ASE, un parcours chaotique entre foyer et lieux d’accueil qui brouillerait tous les repères.
2
L’ouvrage de Christine Abels-Eber met très fort l’accent sur la nécessité d’une communication honnête de part et d’autre. Le travailleur social a certes un pouvoir. Il ne doit pas en user avec un rigorisme moralisateur ou avec un abus d’arguments juridiques. L’enfant placé et la famille ne sont pas des dossiers ou des cas sociaux, mais des êtres à réinsérer dans une existence moins douloureuse. C’est la mission du travail social.

jeudi 18 mai 2017

info




Se poser - Prendre du temps - Partager une activité

Expérimenter ensemble l'état de calme et de bien-être...

Dans le cadre de la semaine Famille organisée par le centre socio culturel de Mauzé-sur-le-Mignon, j'aurai le plaisir d'animer des ateliers relaxation parents-enfants (à partir de 7 ans)
samedi 20 mai entre 14h30 et 17h30
Venez découvrir comment vous relaxer et partager un moment de bien-être en famille, c'est gratuit !
D'autres animations sont prévues sur place.
Inscription conseillée auprès du centre socioculturel du pays mauzéen 05.49.26.72.46
- 6 rue de la Distillerie - 79120 Mauzé sur le Mignon -

lundi 8 mai 2017

émission à regarder le 11/05



jeudi 11/05 de 9h à 10h15 regardez l'émission



LES MATERNELLES sur FRANCE 5



le sujet  " l'accueil familial et le lien d'attachement".

jeudi 4 mai 2017

reportage sur la communication bienveillante

Un bon reportage d'une demi-heure de la CAF expliquant la communication bienveillante et les dernières recherches des neurosciences.
A diffuser largement par ce mail ou par notre page facebook (caféparentsbernay)
A bientôt,

Céline